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Eglise composée de deux travées de nef poursuivies à l’ouest par une travée ouverte sur deux chapelles au nord et au sud formant un faux transept et un chœur plus élevé que la nef, avec une abside semi circulaire.
La nef est lambrissée, la 3e travée de la nef et les chapelles sont voûtées d’ogives. Une sacristie est accolée au mur nord du chœur. Les murs sont fait de moellons enduits, les couvertures de tuiles creuses sur la partie du chœur.
Les chapelles sont couvertes en appentis, en tuiles mécaniques, comme l’est la nef. Un clocher en arcades surplombe pignon ouest.

Le nom d’Auradou pourrait dériver du mot oratoire (Oratorio) qui semble être la 1ère trace d’un lieu de culte, devenu par la suite église Saint-Martin.
Au XIIe siècle, une première église soit construite (il n’en subsiste que le portail sud). Par la suite, l’église est dévastée pendant les guerres de religion et, en 1595, Nicolas de Villars la décrit comme « presque toute ruinée ».
Aux XVI-XVII siècles, quelques travaux de reconstruction sont réalisés.
Un lambris est posé en 1829 dans l’église et des peintures décoratives  réalisées en 1836 par Gayetant Texidor. De nombreux travaux de restauration et d’aménagement sont réalisés en 1883. La chapelle sud est construite, le sanctuaire est réorganisé en hémicycle, le clocher est réparé et et le lambris restauré.

 

Le projet en images

Plan au sol, par D. Boulanger, architecte du patrimoine