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La chapelle est constituée d’une nef unique avec chevet plat, le tout voûté en berceau brisé. Les murs sont en gros appareil,  et la couverture en dalles de gneiss.

Le premier  texte mentionnant la chapelle date de 1007 : le comte de Cerdagne, Guifred fait don au monastère de Saint-Martin de Canigou d’un bien situé à côté de « la pausa Guillelmi ». C’est un ermite, Guillem (de Llivia ?) qui la fait construire  et la dédie à sainte Madeleine, au Xe-XIe siècle.

Au XIIe siècle, la chapelle est agrandie à ses dimensions actuelles et dépend de la paroisse de Prats-de-Mollo. Elle est alors connue  sous le vocable de St-Magdalena-et-st-Guillem-de-Combret, puis sta Magdalena disparait peu à peu. En 1195,  l’Évêque d’Elne, Guillem II de Céret, fait don de l’église Sainte-Magdeleine et de ses dépendances au monastère Sainte-Marie d’Arles

A la Révolution, la chapelle est vendue comme bien national et acquise par Jean Sors de la Llau qui promet de la rendre un jour au culte.

Jusqu’au milieu du XIXe siècle, un ermite était le gardien du sanctuaire.

En 2015, la chapelle Saint-Guillem-de-Combret a reçu le Grand Prix Pèlerin de la Transmission et du Partage, attribué par la Sauvegarde de l’Art.

Le projet en images

Le Tech (66) Chapelle Saint-Guillem-de-Combret - Sauvegarde de l'Art Français

Le Tech (66) Chapelle Saint-Guillem-de-Combret - Sauvegarde de l'Art Français

Le Tech (66) Chapelle Saint-Guillem-de-Combret - Sauvegarde de l'Art Français